" Rêvons nos belles pensées !

Pansons nos mauvais rêves."

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Extrait des p 46-47

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"Quand je me regarde dans un miroir, je ne me vois pas, je ne reconnais pas ce visage, car il ne décrit pas mon état intérieur tel que je le ressens. Il représente le miroir d’autre chose encore. Cela me demande de la concentration pour examiner en observant d’une manière différente. Et c’est de cette vision que j’ai appris à vivre depuis l’enfance. L’invisible ne se voit pas, il se ressent et je comprends mieux dans l’invisible que dans le visible. Je dois continuer donc à apprendre à regarder…

 

Hymne à la joie, hymne à la réflexion, hymne à l’amour !

 

En voici mes citations…

 

Toute méfiance est rigide quand elle condamne quelqu’un selon sa propre défiance et non pas à travers qui est l’autre véritablement.

 

La méchanceté est plus facile à atteindre, car elle ne demande aucune responsabilité !

 

La déchéance de l’humanité provient de l’humanité elle-même.

 

Quand d’autres se font rares, j’admets que d’autres se font proches.

 

L’amertume n’engage que celui qui le vit.

 

à trop vouloir bien faire, nous faisons mal.

Méfis-toi de toi-même au lieu de te garder des autres. L’autre t’apprendra toujours de quelque manière que cela soit. Si tu es trop soupçonneux, alors tu ne vois plus rien et peut-être ne vis-tu plus rien ?

 

Condamne tes pensées fausses avant de les censurer sur un autre.

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Tu peux choisir de te détruire, mais pas d’anéantir.

 

N’amène plus rien à toi-même si ce n’est l’amour !

 

Pense, vis, aime non pas pour ce que tu veux de l’autre, mais pour ce que tu es.

 

Calme tes nerfs sinon tu te gaspilles.

 

L’énergie n’est pas dans l’âme, elle est !

 

Partout autour de nous il y a. Tout autour de nous : Il Est.

 

Semblant s’acharner, il n’arrive plus à rien.

 

Prodigue de l’orage, prodigue de l’amour, prodigue de la pluie, Prodige."

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